Personne dans le petit village de Thanh Hoa, au Tonkin méridional, en Indochine, ne s’attendait à la brutalité de l’attaque des Viêt-minh en ce jour de 1946, peu après la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Les habitants avaient bien suivi la progression des troupes soutenues par la Chine populaire, mais la réalité du désastre dépassait leurs craintes les plus pessimistes.
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