« Si tu savais ! Le tiercé, j’y pense nuit et jour ! Je vois le 5, le 3, le 8… Les numéros me poursuivent sans cesse… et je dépense presque tout mon argent, celui de la famille pour y jouer ! »
L’homme qui tenait ces propos paraissait vraiment malheureux. Il était devenu esclave de sa passion…