Selon des travaux de l’Université de Genève, la «plasticité» de notre cerveau (c’est-à-dire sa capacité à s’adapter, mais aussi à mémoriser de façon durable) serait grandement augmentée en cas d’effort physique, même court.
Les chercheurs genevois ont en effet mis en évidence que cet effort physique a clairement un effet positif sur une zone du cerveau appelée hippocampe, par le biais d’une molécule dénommée «anandamide», que le corps produit à ce moment-là et qui pénètre directement au cœur du cerveau ;
la stimulation de l’hippocampe améliore alors significativement la consolidation optimale de la mémoire…
(H.C.)